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[ Introduction ] [ Découvertes ] [ Poésies ] [ Nos vieilles fermes ] [ Pages d'écriture ]
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Amour total
23/10/2012 21:18
Confin de l'amour,
Limites inconnues.
Aller sans retour,
Aucune retenue.
S'engager sans calcul,
Ne pas chercher le recul.
Donner de soi le tout,
Sans définir de bout.
Aimer sans tricher,
Ne pas tergiverser.
S'abandonner à l'autre,
son bonheur est le vôtre.
La confiance se mérite,
sera le meilleur crédit.
Elle a une place,
Que rien ne remplace
L'amour ne se gagne
Que si l'effort ne s'épargne.
Il est de chaque instant,
Et son veille permanent.
Il n'est pas sentiment banal,
Joies et plaisirs en festival,
Guide, lumière ou fanal
Si beau s'il est vrai et total.
P.H.D. Octobre 2012
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Jusqu'au bout de ses rêves d'enfant.
23/10/2012 09:45
Naître et déjà ressentir L'envie d'aimer et d'être aimé. Evoluer, lentement grandir Et ce besoin reste entier.
Voyager...entre coups et adolescence, Garder, toujours, ses rêves d'enfance. Au fond de soi...l'envie d'amour, Plus forte de jour en jour.
Premières étreintes, premiers émois Et leurs lots de désillusions. Au fond des yeux les braises ne flamboient, S'il n'y reste que les brandons.
Dans le cirque de la vie Le carrousel des sentiments, Pousse parfois à la dérive Nos illusions d'antan.
Bien peu de choses suffisent, Pour qu'à néant ne se réduise La magie des tendres embrasements, Aux passions dévorantes.
Un regard doux tendrement échangé, Le sourire d'une charmante conductrice. La course de deux coeurs additionnés L'un à l'autre, telle une force motrice.
Au soir de la vie, à l'heure du bilan, Regard inquisiteur posé en arrière. Pouvoir sourire à ses rêves d'enfant, Heureux d'avoir franchi toutes les barrières.
P.H. D. Octobre 2012
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Supplique à mon Esmeralda
21/10/2012 19:34
S'il te fallait un amour, belle Esmeralda, Je me ferais ton Quasimodo, beau même moche Jusqu'à porter la bosse pour cela Et carillonner chaque jour les cloches.
Sonnant l'éloge de ta beauté. En oublier ma laideur, Juste me permettre de rêver, Etre autre chose qu'un simple sonneur.
Oh Beauté, voudras tu poser Tes yeux un jour sur moi. Pourrai-je alors espérer Te tenir dans mes bras.
Eclaire mes nuits de tes regards, Empêche moi cette bosse vilaine, Pour laquelle on me tient à l'écart Et me désigne comme croquemitaine.
Esmeralda, reine d'une court des miracles, Pose tes mains et mes nuits seront douces. Par toi, l'amour se rira des obstacles ! Je t'en prie ! Oublie cette bosse qui repousse.
P.H. D Octobre 2012
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Doux matin passion
20/10/2012 09:05
Ta peau encore chaude à peine vêtue De tes rêves brulants de la nuit, Tu étires ton corps nacré, alangui Des caresses honorant ta beauté nue. Tu ronronnes, chaton offrant aux derniers Rayons de l'astre nocturne, ta nudité Resplendissante de femme épanouie Lorsque toute impudeur s'est évanouie. La pointe de tes seins se dresse fièrement Attendant de ma bouche, ardemment, Les baisers qui rallumeront le feu Dont les braises rougeoient encore dans tes yeux. La courbe harmonieuse de tes hanches En appelle fiévreusement à mes mains, Ondulent, s'offrent et quémandent La chaleur qui t'éveillera à ce doux matin. Tes reins se donnent, tu deviens arc tendu. Ta gorge offerte aux lèvres impatientes Qui viendront y poser la douceur attendue, Laissant échapper des soupirs éloquents. Mes doigts massent avec passion Chaque centimètre de ton dos vibrant Sous l'intensité de leur dévotion A te marquer de preuves incandescentes. P.H. D Octobre 2012
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Sous le satin des draps.
17/10/2012 20:26
Chaleur toride
Sous les draps de l'été.
Satin très léger,
Mais seul...désert aride.
Envie de ton corps.
Contre moi te sentir.
Trop chaud...je transpire.
Mais t'attendre...encore et encore !
La soie de ce drap
Echauffe mes envies.
Bientot tu seras là.
C'est long...connerie de vie !
Résister devient dur.
Gagner du temps...me déshabiller.
Le boxer vole contre le mur.
Je sens mon corps respirer.
La caresse du draps...sensuelle.
Lentement...bouger...onduler.
Attiser le désir charnel.
Vas tu enfin arriver ?
Pas entendu tes pas.
Tu te dresses devant moi,
Nue comme au jour de ta naissance.
Sous le draps...se dresse mon indécence.
Pas d'excuse à ton absence,
Mais à tout prix apaiser tes sens.
Maintenant deux en ébullition,
Et le lit comme une casserole sous pression.
P.H. D. Octobre 2012
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Ma petite marchande de rêves.
17/10/2012 18:03
Ai retrouvé mon âme Aux tiédeurs de Mai. Aux mots d'une belle dame Me suis réchauffé.
Elle parlait d'un amour profond. A chaque ligne naissait l'espoir. Et mes craintes devenaient dérisoires Face au ressenti de ses émotions.
Les couleurs dont elle peignait ses poésies, Donnaient force romantisme à ses aquarelles, Transformant mes monotonies En une symphonie de nuances pastelles.
De mes mots, caresser son coeur. Qu'elle pose sur moi le bleu Intensément océan de ses yeux. Serait-ce illusion ou douce candeur ?
Pourtant j'y veux croire et je me berce D'espérer que les heures seront brêves Avant que ma petite marchande de rêves, De flèches d'amour me transperce.
P.H. D Octobre 2012
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A l'autre bout du spaghetti
16/10/2012 23:01
Faut il donc une raison
Pour un jour décider
Qu'ils sont d'autres moissons
Ayant de bien agréables attraits.
Est ce folie ou déraison
De croire que la passion
Peut renaître en dépit de l'âge.
Pour vivre sur un nuage.
De l'image laissée par le miroir
Se dire qu'au-delà des rides,
Il y a toujours un espoir
Pour que l'amour comble le vide.
La force des sentiments échangés
Valeur ajoutée à la durée.
Aux années, aux mois tendrement vécus,
La douceur de vivre vient en plus.
Il suffit d'un jour, mettre de l'eau
A bouillir dans le récipient de la vie.
Y plonger les pâtes. Manger tant que c'est chaud
Avec l'être aimé à l'autre bout du spaghetti.
P.H. D. Octobre 2012
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...du miroir
14/10/2012 14:44
Miroir...
Toi qui renvois de l'image
Une vision par trop imparfaite,
Considères tu me rendre hommage
En transformant la mienne de manière secrète ?
D'apercevoir imprimée à ta surface
Le doux visage d'une femme
Parée de mille grâces,
Dois-je y voir message ou blâme ?
A trop la regarder, ses traits de me pénétrer,
Sans pourtant en mon corps, rien déranger.
Je la sens prendre place, s'installer,
Et mon visage d'homme en femme changer.
Etrange passivité de ma part. Aucune réaction.
Elle me plonge dans son monde d'émotions,
Et je sens son coeur saigner sur les miennes,
Tandis que je chavire de découvrir les siennes.
Lentement, trop loin dans nos partages,
Je pose les yeux sur son doux visage
Et déjà elle vit ma vie. Je m'installe
Dans ses rêves. Elle en moi, je suis elle.
Plus rien pour nous séparer...trop fort, trop beau.
En parfaite symbiose, je me nourris
De ses rires, bois ses larmes, je vis
Trop heureux de nous savoir jumeaux.
P.H. D Octobre 2012
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Un amour...au fil du temps.
14/10/2012 11:37
Passent les jours, les semaines,
Seul l'amour ne reste le même.
Il s'ouvre, il s'épanouit,
Comme fleur s'offre au soleil qui luit.
Aux larmes du temps il s'abreuve,
Y puisant au long défilé des jours
Vitalité et forces neuves.
Devenant forteresse, inexpugnable tour.
Acceptant avec lui la symbiose,
Il ne se pare pourtant de ses rides,
Se vêt de couleurs grandioses,
Parvient même à croître en sol aride.
Graines de passion semées en jardinières
Amoureusement entretenues aux charmes d'antan
Au doux parfum de guimauve, rose trémière.
Un amour évoluant au fil du temps.
P.H. D. Octobre 2012
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Graine de rien...
13/10/2012 21:10
Ballotée tel fétu aux vents, Tu te perds dans les méandres du temps. "Graine de rien" errant entre univers et néant. Te poser ! Mais le veux tu vraiment ? Flotter, planer dans l'inconnu infini, Vivre, mais traverser d'éternelles nuits. Te cacher pour échapper à l'ennui, Parce que le monde n'est plus de tes envies. "Graine de rien" éprise de liberté. Etre aimée sans te vouloir enfermée. Tu donnerais jusqu'au tout de toi-même Contre la sincérité d'un "je t'aime". "Graine de rien", quel prix donc a t elle, Cette liberté qui te semble infidèle, Que pour courir l'espace en tes rêves Sans jamais te consentir de trêve ? Trouveras tu le temps de te poser ? Pourras tu un jour te laisser aimer ? Accepteras tu de sacrifier ta liberté Contre un véritable amour en guise d'éternité ? "Graine de rien"...si grande...si chère à mon coeur. P.H. D Octobre 2012
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