Ma vie en poésie

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Créé le : 05/05/2012 20:45
Modifié : 25/09/2013 21:40

masculin (61 ans)
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[ Introduction ] [ Découvertes ] [ Poésies ] [ Nos vieilles fermes ] [ Pages d'écriture ]

Simplement te dire

02/12/2012 14:06



Trouvé dans l'embrasure d'une cicatrice

Qui, béante avait du mal à se refermer.

Tu fus mon essence bienfaitrice

Mon baume agréable et parfumé

 

La plénitude ne peut se décrire

Elle se murmure, se respire,

Deux âmes entrées en collision,

Sous feux d'écrits par la passion.

 

Pureté d'un sentiment vierge

De réalité, moment d'apesanteur

Le cœur allumé,fond, comme cierge

Aux mots lus et écrits, sous douce chaleur.

 

Nos écrits ont parcourus, kilomètres

En envols d'oiseaux migrateurs.

Moments d'exceptions, ultime bien être,

Avant que pour nous ne sonne l'heure.

 

Nos mots se nourrissaient de demain.

De l'un, de l'autre, avons aiguisé la faim

l'avons étanchée en brisant une aile au destin

Dans un rendez vous qui n'aura de fin.

 

Alliant chacun son tour les jeux thèmes,

Nous propulsant au delà des étoiles.

Je t'écris en plein vol, je t'aime

Sur les sentiments, je ne pose le voile.

 
Poème composé par
Papillonmystère
25 Novembre 2012






Sarah Pisse-vinaigre !

02/12/2012 10:57



Ce poème est dédicacé à Melle Sarah (Benne à lit) résidant à Saint Etienne, en remerciement des insultes proférées à mon encontre. Les raisons de ces insultes, je les cherche encore.



S upérieurement normale en nullité !

A nalphabétiquement proche de l'être !
R ase les murs de la parfaite absurdité !
A pproche les sommets de l'inutile paraître !
H ystériquement rapide en paroles déplacées !

P arfaitement à l'aise dans l'incongruité !
I nstinctivement agressive, limite de l'imbécilité !
S itue son intelligence au niveau des pâquerettes !
S tupide déguisée en taupe surmontée de lunettes !
E trangement silencieuse lorsqu'on lui parle de travailler !

V indicative en ce qui ne la regarde pas !
I diote sans même s'en apercevoir !
N aïve dans ses jugements, et même au-delà !
A igrie de ne pas plaire, un simple cul sur un trottoir !
I rritable sans même en savoir pourquoi !
G raine des rues, lie de la société !
R atée du savoir-vivre, mais se permet de juger !
E goïste extravertie dans toute son égocentricité !


Avec mes plus humbles compliments
DOPCHIE Paul-Henri
Décembre 2012






Enculé !

01/12/2012 09:44



Ce mot ne l'a-t-il que choqué ?
A-t-on voulu le blesser ?
Ou ne serait-ce que le résumé
De ce qu'il est en réalité ?

Qui le connait assez

Pour ainsi l'insulter.
Est-ce être un enculé
Que de trop aimer ?


Qu'a-t-il fait pour le mériter
Que veut on lui faire payer
Et combien ? Plus de solitude ?
Encore ! Quelle sollicitude  !

Il n'y aura pas de prochaine.
A ces minutes qui égalent les semaines.
Et il ne la supporte plus.
Comprendrez vous son refus ?

Quelqu'un a-t-il pu écrire
Que l'amour fait souffrir.
Qu'il n'est beau qu'en rêve.
Que la vie n'accorde jamais de trêve.


Lui faudra-t-il partir

Pour alors leur prouver
Qu'il avait juste envie d'aimer
Sans pour autant ressentir.

Contre lui tant d'animosité

Pourquoi s'acharner à vouloir détruire
Ce que le coeur veut construire.
Juste un rêve...beau...aimer...être aimé.

P.H. Dopchie Décembre 2012


Si vous voulez me détruire...laissez moi seul !






Demain...

30/11/2012 22:06



Et si dans une heure…

L’esprit en torture, ne pouvais comprendre
Les tenues à l’écart ni les apartés,
Les évidences où il faut se rendre :
On ne dit, car vous dérangez.

Et si dans deux heures…

De guerre lasse à verser les larmes,
Décidais de rendre les armes,
Et de m’allonger de bonne heure,
Sans prier que l’on me rende honneur.

Et si dans trois heures…

Dans les plus profonds dessous
Le coeur meurtri par amour de vous,
Attiré par l’immensité de ce gouffre,

Je vous montrais enfin que je souffre.

Et si dans le sommeil…

La merveilleuse étoile brillant dans le noir,
Me sortait par compassion, d’un amour illusoire,
Et de sa longue trainée de poussières
Lumineuses, me guidait au-delà de l’univers.

Et si demain…

Les « assez » me faisaient ployer
Sous le poids des questionnements,
Et qu’alors, en doute décidai,
De trouver le repos au creux du néant.

P.H. Dopchie – Novembre 2012






Danses avec moi...!

29/11/2012 13:11



Souvent tu éblouis mes regards,
Quand la musique rythme tes pas.
Hanches en parfaite harmonie, aucun retard.
Oh je t'en prie...Danses avec moi !

Depuis si longtemps la danse est un plaisir
A partager avec ma femme, et elle seule pourra.
Corps à corps complices, voluptueux délires.
Oh si tu le veux !....Danses avec moi !

Des rythmes latinos la provocante sensualité.
Langoureux déhanchés, l'un à l'autre soudés.
Danses en contacts amoureux, tu savoureras.
Oh laisses toi convaincre !...Danses avec moi !

Le coeur aux yeux, lèvres entr'ouvertes.
Les pulsions de nos corps en désir, offertes.
Sortons du commun et osons une Rumba
Oh délicieuses sensations !...Danses avec moi.

Rythmons notre amour sur pas de danse.
Vivons la passion en tempos intenses.
Dans tes sourires, je le vois, tu aimes déjà.
Oui, prends ma main, viens, danses avec moi !

P.H. D Novembre 2012

 






Bachata !

29/11/2012 00:34



Courts et rapides, mouvements arrière avant.
Bras enlacé et serré autour de ta taille,
Contre moi te tenir, assurer le déhanchement.
Le rythme de tes petits pas est sans faille.

Torride, contre le haut de ma cuisse,
La brûlante chaleur de ton ventre.
Danse lascive et chaque pas esquisse
Les arabesques dans lesquelles se vautrent

Nos sensualités exacerbées par la danse.
Pas de côté,  j'aime à te voir tourner.
Ta jupe très courte me fait soudain entrer
Dans cet état que l'on nomme "transe".

Retour contre ma poitrine, pression du bras
Sur tes hanches.  Les volants de ta jupe
Se sont relevés, dévoilant le haut de tes bas.
Souriante tu me regardes, n'es pas dupe.

Sournoise tu ondules et à moi te colles.
Pas même un regard, tu le sais tu m'affoles.
Au rythme de la "Bachata" tu virevoltes,
La pression de tes cuisses me survolte.

Autour de nous, les autres couples,
Voudraient nous suivre mais s'essoufflent.
Enlacés, toi et moi ne faisant qu'un seul corps
Nos pas s'enchainent encore...et encore.

Et lorsque la musique faiblit puis s'arrête
Tout ton corps se souvient, reste en alerte,
Immobile, penchée en arrière, sensuelle demi-lune.
  Haletante, ventre pressé sur ma cuisse, tu m'allumes.

Au travers tes yeux, je devine ta joie.
Il me faut attendre, dans une absolue immobilité.
Mais ta bouche peine à ne pas laisser deviner
Que déjà tes griffes me tiennent comme une proie.

P.H. D Novembre 2012

 






Sea, sex and moon...

28/11/2012 22:00



Allongée...rêveuse...par vagues léchée,
Nue...impudiquement seule...offre les pieds
Vibrante...frémissante...aux lentes caresses.
Reposant languissante...en indolente paresse.

Corps par chaud sable modelé,
Eau salée en écume blanche,
Sensuelle douceur enrobe ses hanches.
Ondule et s'abandonne au plaisir annoncé.

Esprit vagabonde sous rayons de lune,
Sans que son imagination n'importune.
Vagues deviennent en image l'amant
Au regard ses sens embrasant.

Sa croupe offerte et cambrée
Sous le souffle chaud des baisers,
Par l'eau ou l'amant, déposés,
Elle ouvre les lèvres, et de volupté,

Laisse échapper langoureux soupirs,
Réponses à ses charnels désirs.
Emportée par tourbillon d'érotiques sensations,
Se donne en un total abandon.

Vagues, écume, souffle chaud et amant,
Unis et causes de son doux tourment,
Arrachent à la belle, vibrations voluptueusement
Enivrante et le corps délicieusement tremblant.

P.H. D Novembre 2012

 






Humanité ...humaine ou...?

26/11/2012 23:01



Votre façon de vivre, par trop égoïste
Me crispe, me renforce dans mes envies
De plénitude, tel Lao Tseu le taoïste.
Corps et nature en passion assouvie.

Vos éternels recherches a vouloir
Le pouvoir, assurer la domination,
Les richesses matiérielles, l'accumulation
D'immaturités, mais de la vie ne rien voir.

Votre envie d'être aimer et du paraître.
De vous-même ne rien donner, se soustraire.
Vous et vos personnelles petites satisfactions
Jusqu'à atteindre les sommets de la dérision.

Votre amour n'est qu'une vaste hypocrisie
Qui sent le mensonge caché sous philosophie.
Le regard, l'envie ne vous sont pas péchés,
Ne faire que désirer n'est pas encore coucher.

Et pour vous donner bonne conscience,
Vous en faites appel à la confiance.
Que savez vous des beaux sentiments ?
Rien ! Vous n'êtes que des mendiants !

Avides d'argent, de pouvoir ou d'amour.
Toujours plus, jour après jour.
Votre seule philosophie est d'avoir,
Sans craindre de vous vautrer dans le noir.

P.H. D Novembre 2012

 






Se pourrait-il qu'un jour...?

25/11/2012 19:26



Jeunesse venue et déjà comprenais
Ce doux émoi que partout je cherchais,
Sans pour autant trouver aux alentours.
Mais se pourrait-il qu'un jour...?

Alors que je pensais avoir découvert,
On me fit comprendre à mots couverts
Que je m'étais trompé de parcours.
Mais se pourrait-il qu'un jour...?

Lorsqu'un jour, sentiments enfin réunis,
La vie me semblait finalement réussie,
Le fil de mon destin changea de cours.
Mais se pourrait-il qu'un jour...?

Au hasard des chemins et des voyages,
Blonde dame se fondit dans mon paysage,
Et disparu dans un lent demi-tour.
Mais se pourrait-il qu'un jour...?

Sur câble, écrivant les aléas et les ennuis,
Un doux coeur de femme bouscula ma vie.
Ses graines d'amour les semant avec tendresse.
Faisant de mes hiers des demains emplis d'allégresse.

Se pourrait-il qu'enfin...se soit...mon jour !

P.H. D  Novembre 2012

 






Nuits de satin blanc

22/11/2012 22:44



Tête blonde sur blancheur posée,
Immobile, rêveuse, présence irréelle,
Perdue dans une immensité immatérielle,
Où le noir scintille, de mille diamants éclairé.

Ses pensées cheminent, libres et rebelles
Se refusant au contraintes rigoureuses,
S'alignant en guirlandes langoureuses
Qui, la nuit, s'illuminent et étincellent.

La belle s'évade pour échapper à l'ennui
D'un monde sombrant inexorablement dans le gris.
Elle imagine son univers en perfection immaculée,
Une longue cohorte d'amants éperdus à ses pieds.

L'eau de ses larmes de joie d'une grande pureté
Forme un lac où l'amour vient se refléter,
Illuminant les nuits comme les étoiles par milliers,
Eblouissantes et douces, d'une blancheur satinée.

 

P.H. D Novembre 2012
 






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