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[ Introduction ] [ Découvertes ] [ Poésies ] [ Nos vieilles fermes ] [ Pages d'écriture ]
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Idée vagabonde
13/01/2013 18:40
Par le plaisir d’une assemblée réunie
Attiré par le regard d’une dame si jolie
Et sur son beau visage mes yeux fixés,
Mes idées en désordre vagabondaient.
Par distraction l’une d’elles s’échappa
Virevoltant de gauche, de droit, de-ci, de-là
Cherchant, par supposition, endroit où se poser,
Glissa sournoisement sous la table se cacher.
Souriant mais rougissant, faisant discrètement
D’un rapide coup d’œil, subrepticement
Aperçu ma coquine idée sous courte jupe se glisser,
Et aussitôt deux longues fines jambes s’écarter.
Intrigué, voulu m’assurer de la propriétaire,
Et lui faire part de mon profond regret,
Que l’incartade n’était point fait volontaire.
Bref prier la belle de bien vouloir m’excuser.
J’allais me lever et vers elle m’avancer
Lorsque sur sa chaise la vit prise de rougeur,
Imperceptiblement du bassin et des hanches remuer,
Tandis qu’au front et sous nez perlait la sueur.
Par le fait d’en comprendre la cause, désappointé
De savoir mon idée occupée à creuser, intrigué,
Sur ma chaise demeurais sans bouger, paralysé,
Et par devant moi, la belle de fantasmer, fasciné.
Me refusant à causer l’esclandre, mon idée folle
Voulu rappeler, mais prisonnière de sa farandole,
Ma saugrenue n’en voulait point de raison
Entendre, moins encore d’envisager terminaison.
Et de plus bel s’enhardir sous la jupe relevée,
Au plus grand plaisir de ma Dame échevelée,
Qui dans la tourmente laissa échapper un cri
Avant de s’affaler sur son siège sous les regards contrits.
Sans besoin d’autres explications j’avais compris.
De ses yeux langoureusement amoureux, elle me sourit
Et à mon tour d’être par les chaleurs envahi,
Néanmoins ébranlé lorsque ma fugueuse rentra au nid.
P.H. Dopchie 12 Janvier 2013
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Offrande
13/01/2013 11:55
Offrande
»J’offre l’amour à la conscience des hommes
D’en faire estimation de valeur en somme,
Et obligation d’utilisation généreusement,
Afin que nul ne souffre de manquement… »
Peintres, du portrait les artisans
Connaissez vous plus belle image
Que le bonheur affiché sur un visage,
Qu’un sourire aux lèvres d’un enfant .
Au fond des âmes et des yeux ces lueurs
Traduisent qu’enfin dans tout les cœurs
Brûle cette douce et tendre chaleur.
Bannir à jamais les peurs et les pleurs.
N’accordons à l’argent que la seule valeur
Du partage de vie et du don de l’amour.
Pourrions-nous faire en sorte qu’un jour
Il soit désigné des beaux sentiments, ambassadeur.
« Je dépose l’espoir dans le cœur des hommes,
Qu’ils en fassent partage et le diffuse comme
Le plus beau des messages de leur volonté
A ce que partout règnent l’indulgence et la paix. »
P.H. Dopchie
13 Janvier 2013
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Douceur de vivre
11/01/2013 16:29
Douceur de vivre Halo ondoyant aux reflets dorés Entoure aujourd’hui ton visage Autrefois du malheur marqué, Et j’y vois maintenant heureux présage. Trop souvent entre exaltation et passion, Ta volonté à affronter seule les affronts Que la vie s’ingéniait à poser sur ta route Suscitait ma profonde admiration. Les jours et les mois ont apportés douceur Adoucis les rides de l’incompréhension, Marquées par les coléreuses rancoeurs D’amours défuntes en état d’irraison. Suivre tes pas s’enfuyant de-ci, de-là Au bord de tes lèvres refrains de toi inventés, Autant de preuves qu’en toi bonheur croît, Sans doute au-delà de l’espéré. Ne nous lassons pas de la déguster, Savourons et profitons à satiété. De cette douceur de vivre tant méritée, Et jetons au loin nuages qui voudraient ombrager. P.H Dopchie 11 Janvier 2013
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Je ne suis qu'un rêveur
11/01/2013 09:56
Je ne suis qu un rêveur J’ai rêvé d’un monde où la terre était blanche Où l’eau d’une pureté cristalline irriguait les consciences Les abreuvant à une source de sagesse immense. En nourriture des mots épurés de violence, Offraient aux idées une profusion de pitance, Issus de contrées où poussaient en abondance. Aux lueurs des pensées luminescentes Les nuits prenaient des allures de bouquets immenses Où vers et rimes se croisaient en un réseau intense. Au coucher du Roi Phébus sur l’empire des sens, Autour de cœurs réunis, faisant chaleureuse présence, Se chauffait un air délicieusement chargé de fragrances. Entouré de tant de beautés faisant révérence De son éternel besoin d’absolu prenant conscience, Perdu de n’être plus dominé, reprenant confiance L’homme enfin, ayant perdu toute son arrogance, Soulagé des conflits, des conquêtes ou autre belligérance, Retrouvait toute la pureté de son cœur d’enfance. ….Oh je t’en prie, éteins la lumière s’il te plait Et arrêtes donc de rêver ! Vois enfin le monde tel qu’il est ! P.H. Dopchie 11 Janvier 2013
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SI
09/01/2013 20:11
Si
…Les jours devenaient nuits
En longueur proportionnelle
Aux heures d’ennui.
De nos idées folles et nouvelles,
capables de tant de merveilles,
Ferions nous à nouveau jaillir l’étincelle.
…Les désirs d’étoiles dans les yeux,
qui te font si désirable et si belle,
Qui tout deux nous rendent heureux,
Pour notre malheur disparaissaient,
Trouverions nous force exceptionnelle,
Pour tout là-haut nous en aller chercher.
…Par d’autres notre bonheur subissait,
Par tant malheurs circonstanciels,
Dis-moi que nous arriverait
L’indispensable sagesse de vouloir,
De par volontés additionnelles,
Pour l’amour de nous, garder l’espoir.
…Au crépuscule de nos existences,
encore sentiments nous émerveillent,
Passion et Désir encore magnificences,
Pourrions nous, si tu le veux,
Un jour baigné de la douceur du soleil,
Unir enfin nos alliances et nos vœux.
P.H. Dopchie
09 Janvier 20
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L'envol
05/01/2013 19:04
L’envol
Lorsque son aile effleura mon cœur,
Aussitôt son battement sécha mes pleurs.
Et si fort attiré par les tant belles couleurs
Qu’elle révélait en sa vibrante ardeur,
A l’instant je me pris à être heureux.
Sur moi se déplaçait en un frôlement duveteux
J’imaginai les caresses d’une belle aux yeux bleus.
Sous le chaud regard d’un soleil radieux.
En rêve j’entendais ces mots merveilleux,
Une douche de vers tendres et voluptueux.
Par peur de briser le charme, n’osai bouger,
Si beaux, voletants, papillonnants, raffinés.
Irrévérencieuse majesté de l’être humain,
Se croyant en proie à la douceur d’une main.
Que n’est-il à même d’apprécier
La si légère présence d’une patte à peine posée.
Papillon, par tant de prétention, dérangé,
De n’être à sa juste valeur estimé,
S’offrant à une dernière vision, se déploya
Et d’un majestueux coup d’aile s’envola.
P.H. D. Janvier 2013
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L'encre de mes rêves...
04/01/2013 22:03
A l’encre de mes rêves… J’écrivais ton nom en lettres d’amour, Et pouvoir le lire…encore et toujours. Mais je n’imaginais pas qu’un jour, Il ne serait qu’un pauvre calembour. Je croquais tant belles épure, D’une passion si tendre, si pure. Il ne fallait que de mauvaises courbures, Qu’elles en deviennent vils croquis obscurs. Je gravais en signes de feu, La voûte constellée en sa couleur bleue. Il n’y avait qu’un peu trop de flammes En cendres réduisirent mon oriflamme. A l’encre de mes rêves
J’écrivais ton nom en lettres d’amour, Je croquais tant belles épures Je gravais en signes de feu. Mais avec toi j’espérais un toujours, Le toi et le moi d’une vie sans coupure, Le tout d’une histoire sans « adieu ». Mais je rêvais…
P.H. D. Janvier 2013
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Par mégarde...
03/01/2013 23:31
...Aux soupires d'une dame Ai accroché mon âme, S'est alors envolée, Par souffle léger emportée. Au long fil du temps Ai suspendu mes espoirs, Point résigné et patient D'un jour mon âme revoir. Heures et jours passant, Aux rayons de lune soupirais, Plongé dans l'imaginaire, rêvant Que tendres roses lèvres me souriaient. Serait-ce la fin de mon malheur ? Oh astre de nuit je te vénèrerais Si bientôt au fond de mon coeur Mon âme soudain revenait. La cloche de l'huis résonna, Franchis l'espace en trois pas. Devant moi si jolie et douce dame Tenait entre ses fines mains, mon âme. Aux lambeaux d'un blanc nuage pendait, Délicatement, veillant à ne le point blesser Contre mon sein l'ai chaudement pressé. Puis, bras vers moi tendus, s'est avancée, Et sur elle déposa son plus tendre baiser. Envahi par un immense bonheur, A genoux à ses pieds me suis jeté, Et ses mains sur mon coeur ai posé. P.H. D Janvier 2013
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Raison ?
03/01/2013 20:32
De brouiller les fils d'un destin, D'arracher à la liberté l'appel D'un coeur mené à rien, A blanc, saigné au scalpel.
Avais-je le droit d'ainsi oser ? Ne risquais-je pas de la brusquer ? Qu'étais-je en somme pour ainsi forcer la ligne d'une vie sans la briser ? Et pourtant dans ses yeux Tant de douceur en souvenir. Comme autant d'aveux De recherche d'un tendre avenir. Ouvrir ce coeur par la tendresse, Au cadenas appliquer la clef d'un sourire, Ne permettant aux doigts que la caresse. A l'ouverture n'entendre qu'un doux soupire. La "Belle", par trop de souffrances malmenée Ne devait surtout s'effaroucher. Dans son amour de femme, profanée, Et par la beauté des sentiments l'apprivoiser. Aujourd'hui, vibre-t-elle au même diapason ? Dans son regard j'y lis comme une confession. Et vous, qui lisez ses poèmes à l'encre passion, Dites moi si de brouiller les fils j'avais raison. P.H D. Janvier 2013
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Année...2013...raisons de...
30/12/2012 21:42
2013 raisons d'espérer espoirs raisonnés 2013 raisons de vouloir de vouloir la raison 2013 raisons de pouvoir de pouvoir la raison 2013 raisons d'aimer d'aimer la raison 2013 raisons d'envisager d'envisager la raison... 2013 raisons de bouger de bouger sans raison 2013 raisons de crier de crier sans raison 2013 raisons de revendiquer de revendiquer sans raison 2013 raisons de frapper de frapper sans raison 2013 raisons de maudire de maudire sans raison... 2013 raisons de donner de donner parce que... 2013 raisons de partager de partager parce que... 2013 raisons de sourire de sourire parce que... 2013 raisons de tendre la main tendre la main parce que... 2013 raisons de prier prier parce que... Année...2013...années de toutes les raisons P.H. Dopchie - Décembre 2012
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