|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Introduction ] [ Découvertes ] [ Poésies ] [ Nos vieilles fermes ] [ Pages d'écriture ]
|
|
|
|
...comme une chaude caresse...
12/10/2012 21:33
L'un contre l'autre, allongés,
Sans parler, sans bouger,
Le pur plaisir d'un peau à peau,
Sans qu'il soit besoin de mots.
Ton haleine, chaude, dans mon cou,
Elle me parle, me dit tout.
Elle me raconte tant de douceurs.
Elle me traduit tes silences.
Elle m'interprète tes absences,
Lorsque tu parts tout la haut,
Y fouiller dans tes malles.
Tu retires et déballes,
A la recherche de mots,
Dont tu choisiras les plus beaux,
Pour les peindre aux couleurs
Arc en ciel ou bonheur.
Oui, tu choisiras les plus beaux,
Ceux qui provoquent mes rêves.
Quelle douceur que cette chaude caresse,
A laquelle je m'abandonne et me laisse.
P.H. D Octobre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
Mes silences...
10/10/2012 15:38
Pourquoi les silences...mes...
Surtout pour ne pas dire,
Surtout pour ne plus souffrir.
Pour avoir trop dit "je t'aime"
On a voulu me punir.
Pourtant rester droit...et tenir.
Aujourd'hui...il y a TOI...mon avenir,
Et peu a peu je me sens faiblir.
Mais me taire...ne rien dire.
Te regarder...être là.
Chercher des mots. Hélas !
Ne pas les trouver. Soupirs.
Admirer ta silhouette.
Par plaisir y poser les yeux.
M'en sortir par une pirouette,
Car me savoir, tu le veux.
Mes silences te troublent.
Aux interrogations muettes
De tes lèvres, rester inerte,
Ne pas me trahir...rester inaccessible.
Mais il faut que tu saches...je le veux.
Mes silences, pour toi sont des mots d'amour
Que mon coeur te dit avec les yeux.
T'aimer...ton amour...mon seul secours.
P.H. D Octobre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
Désir Dominical
10/10/2012 14:14
Présence...sensation rassurante. Ma main se pose...ta hanche. Aussitôt...le contact apaisant De ton corps. Ah oui ! Aujourd'hui Dimanche !
De toi me rapprocher...très, très près. Surtout...ma main...ne pas la retirer. Toute entière je te sens vibrer. Imperceptiblement ton corps onduler.
Difficile immobilité...ne pas te dévoiler. Totalement alanguie et offerte, muette. Les sens en éveil...tu me guettes. A moi d'entreprendre...d'oser.
Jeu d'une extrême sensualité. Nos corps se sont détectés, Nos chaleurs se mélangent en un même foyer, Nos désirs se cherchent, montent en intensité.
Bravoure inutile que d'y résister. Ce combat érotique gagnera en beauté, Car nos sens aspirent à s'y abandonner. Au rythme de nos soupirs...planer.
P.H. D. Octobre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
Parfum de "Tendresse"
09/10/2012 22:46
Des effluves de l'amour,
J'inventerai "Tendresse,
Parfum te plongeant dans l'ivresse
De nos nuits et nos jours.
Fragrance caressante et soyeuse,
Pour toi...femme amoureuse,
Sensible au glissement sensuel
D'une soie ou d'une fine dentelle.
Flottement subtile et entêtant,
Présence tournoyante et ondoyante
Qui charmerait ton corps vaporeusement nu
De ses seules évanescences ténues.
Effluves, fragrance, Parfum ou délicatesse
Pour un corps à la recherche de volupté,
Langoureusement ouvert à l'art d'aimer,
Pour peu que "Caresse" rime avec "Tendresse".
P.H. D. Octobre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
Au livre de ma vie...Toi...ma page d'or
07/10/2012 22:03
Les premières pages d'un livre
Le livre d'une vie Ecrit au gré de mes envies. Y déposer par petites touches Des vécus où il n'est de retouches. Les lignes ségrènent, Monotones ou noires d'ébène. Traces ténues et insipides, Diagramme aux courbes timides. Seuls se détachent en ces instants, Deux prénoms...tant de fois répétés. Litanie d'un coeur qu'on a voulu écraser En le privant de ceux...de ses enfants. Parmi les mots écrits, témoignages d'une mémoire, "Amour" y paraît en faible résonance, Telle une chose sans réelle importance, Ou inscrite en rubrique "déboires". Chapelet ininterrompu des années Où l'esprit raisonne en "amitiés". La passion, sentiment comme a jamais bâni, Disparaît au fil des hivers qui s'enfuient.
L'espoir
Un jour...la lumière...d'abord faible lueur Puis elle éclate...éblouit...fait espérer, Pénètre et s'incruste, réchauffe le coeur, Peu à peu, je me prends à oublier le passé.
Surtout...y croire...forcer le destin, Le sien...et même...surtout le mien. Mais être honnête...elle aussi est en peine. Gagner son amour...combat sans arène.
Mots enchanteurs échangés sur écran, Part de rêve m'aidant à sortir du néant. Poésies, en lecture ou composition, Entre elle et moi, comme un trait d'union.
La page d'or
Envies de rencontre...la toucher, La voir...lui parler...elle sort enfin du noir, Devant moi, telle un rêve que je peux palper. D'un sourire elle met fin aux années de désespoir.
Dieu ! Que son regard est plein de vie, Mon coeur bat la chamade. Plus le contrôle. Pourrai-je lui plaire ? Irrésistible envie. Mais être moi...ne pas jouer de rôle.
Aux chaleurs d'été succèdent les fraîcheurs d'automne Nos jours n'ont plus de longueur qu'une poignée de secondes. Suis en mimétisme...en symbiose...dans son monde. J'y suis bien...en harmonie avec elle...un autochtone.
La regarder vivre...mais surtout rire...encore et encore, Chaque jour, d'elle, plus amoureux...chaque jour plus fort. Je TE dois tout...TOI...mon réconfort. TOI...de mon livre...en es devenue la PAGE D'OR.
P.H. D. Octobre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
Dans le grenier de tes rêves
07/10/2012 11:55
Du plus profond de la nuit, lentement je monte A travers tes yeux, redécouvrir le monde Qui est soleil... sous l'éclat de tes rires Qui est bleu...tu me guides à la parcourir. Plus léger que la plume ou que l'air Je me prends à flotter, poussière d'étoile Le coeur arborant l'amour en bandoulière Et l'âme libre dérivant au gré de ses voiles. Planètes, étoiles filantes ou nébuleuses Tu traverses mon ciel, trace merveilleuse Comète couleur de feu, feu d'artifice multicolor, Tu sillonnes ma vie, tu la colores. Durant mes nuits sans sommeil tu m'appelles Tu m'invites à te rejoindre dans ton monde Dont la porte reste ouverte. J'entre dans ta ronde. Les yeux fermés, suis sur une balancelle. Etre bien, pas nécessaire d'ouvrir les yeux La délicate senteur de ta peau, là, au milieu des cieux. Avec toi arpenter ce vaste néant, Ton refuge, le grenier de tes rêves d'enfant. P.H. D. Octobre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
Si je devai te peindre...
26/09/2012 20:00
A l'intensité de ton regard j'y mettrai de l'azur,
Pour en garder son éclat...le plus pur,
Pareil au scintillements des étoiles,
Et qu'aucun nuage ne le voile.
Ma palette manquerait assurément de la couleur
Qu'il me faudrait pour peindre ton coeur.
Il m'était venu à l'idée de le voir en blanc,
Symbole de pureté...mais jamais assez éclatant.
Ta bouche je la peindrai de couleur
Framboise, tes lèvres en ont la saveur.
Le goût de tes baisers...toute la douceur
Sucrée qui me fait fondre en profondeur.
De ton amour...pourquoi pas couleur firmament,
Pour que toujours il brille intensément.
Et s'il te prenait l'idée d'y monter...souvent,
Je t'y verrai de mille éclats...TOI...mon diamant.
P.H.D. Septembre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
A toi...ma douce Papillon
26/09/2012 09:25
Deuxième partie
Poussière tirée du néant...illusion ou mirage,
Telle tes poésies aussi douce qu'une plume,
Douce Papillon, posée sur tes nuages
Ondoyants comme des vagues d'écume.
Tu nous enchantes de tes vers irréels,
Venus des profondeurs de ton âme si belle.
Les yeux perdus dans l'immensite planétaire,
Tu cherches un amour limite imaginaire.
Tes idées vagabondent entre ici et ailleurs,
Tes absences impressionnent...font peur.
Quel amour inventeras-tu...aimeras de vivre ?
Laisseras tu au mien la chance de survivre ?
Pourtant je te suis dans ton univers,
Et souvent m'y retrouve la tête à l'envers.
Ton amour m'est précieux...le brandir...mon fanion.
Toi mon intemporelle, mon irréelle et douce Papillon.
P.H. D. Septembre 2012
| |
|
|
|
|
|
|
|
A toi...ma douce Papillon
25/09/2012 11:33
Si gracieuse, TOI, telle fine libellule, Tu caracoles au gré de tes envies, Et inventes l'amour sur un fil, Fidèle à ton rêve, TOI, belle funambule.
L'esprit perdu dans les méandres de la raison, Tu imagines un monde et tu y déambules, Suivant les édits de ton coeur papillon, Et l'amant te suit...comme un funambule.
Jolie Papillon...pas de cocon mais une bulle ! Tu aimes...ton coeur est chaud...mais tu vis la-haut, Et ta petite sphère ronde...ton véhicule T'y emmènes souvent...le monde y est plus beau. A suivre... (même si la suite est déjà écrite)
| |
|
|
|
|
|
|
|
Réveil...
24/09/2012 10:17
Si belle, vêtue de ta seule nudité,
Contre moi, sereine, paisiblement allongée,
Les yeux clos, encore engourdis de sommeil.
Dehors, le jour s'interroge entre lune et soleil.
Je te regarde ! Comme j'aimerai ne pas devoir,
Pourtant, ma main hésitante, ne peut s'empêcher,
Délicatement sur ton corps se pose, semble s'arrêter.
Ton ventre plat, blanc de nacre, frémit dans le noir.
Coup d'oeil sur l'horloge, messagère détestée
Des instants douloureux, des séparations pénibles.
Les minutes fuient trop rapidement. Horrible !
Hélas il me faudra, contre mon gré, te réveiller.
L'esprit alors se débat entre raison et déraison,
En arriverait à envisager un lâche abandon.
Ne pas avoir entendu, ni même vu.
Mais l'excuse serait faible et mon fil ténu.
A regret, faire contre mauvaise fortune bon coeur,
Et inexorablement mesurer l'étendue de mon malheur.
Tendrement à l'oreille te murmurer, "Chérie il est l'heure !
Ces mots ouvrent la porte à ma solitude, à l'horreur !
P.H. D Septembre 2012
| |
|
|
|
|