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Petite
12/05/2012 21:02
Toi qui t’ouvre à la vie,
En espère toute la beauté,
Telle la fleur épanouie
Sous la douce chaleur d’été.
Nombreux les papillons attirés.
Mots d’amour en l’air jetés.
Jeux de séduction, tendres caresses.
Enivrant carrousel, insouciante allégresse.
Petite
Prends garde aux belles promesses,
Elles illuminent, lucioles passagères,
S’éteignent ne laissant que l’ivresse,
Les regrets d’un bonheur éphémère.
Le malheur pénètre comme la flèche,
Profonde en est la blessure,
Sentiment au caractère revêche,
Ineffaçable trace de meurtrissure.
Sournois, sans pitié ce siphon
Irrémédiablement vers le fond
De l’abîme t’entraine, t’aspire,
T’engouffre dans les souvenirs.
Petite
Prends garde aux grandes passions
Aveuglantes lumières brûlent les yeux
Puis s’éteignent ne laissant qu’illusion,
Et flashs trop brefs de tes jours heureux.
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Un battement d'ailes.
12/05/2012 17:45
Sous le soleil à me bronzer, Un battement d’aile très léger, Dans le cou vient me frôler. Tendre et doux, comme un baiser.
Ton vol gracieux me captivait. De ci, de là te déplaçais. Et comme si voulais me provoquer, Autour de moi tu tournoyais.
Par mon parfum attiré, Sur mon coeur t’es posé. Ravi, je n’osais plus bouger. Sous la caresse de tes ailes, frissonnais.
Très lentement me suis levé. Ne point te faire envoler. A pas très lents je suis rentré, Mais la porte n’ai pas fermée.
Un peu de temps il est resté, Mais mon amour a refusé. Mon coeur au mur fut épinglé, Le jour où mon papillon s'est envolé.
Libre il était La porte n'était jamais fermée. Mais avec lui, mon coeur à emporté.
P.H.D. 11 mai 2012
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La Belle et le Rêveur
11/05/2012 08:55
Ce poème est un "collectif" écrit en collaboration avec une très chère amie, poétesse au grand coeur, aussi chaleureuse en amour qu'en amitié.
A toi donc Jolie Papillonmystère.
LA BELLE
Délicatement un soir, un matin ou un jour Peu importe, tu as posé ton regard troubadour Sur le sable de mes émotions, de mes mots. Tu as gentiment accosté sur mon ilot. LE REVEUR Allongé à l'ombre de tes mots, tu m'es proche. Toi, ma douce beauté, mon tendre rêve, Auquel, éperdu et transi, je m'accroche Sans lui vouloir consentir de trêve. LA BELLE Tu vas, tu viens déposer tes mots Sous les miens. Es-tu mon bel oiseau ? Celui que j'entends mais ne peut voir. Celui dont j'apprécie le chant d'espoir. LE REVEUR Belle ! Il n'est pour toi de chant assez beau. Mes yeux ne seront jamais rassasiés de toi. Mes doigts se languissent de caresser ta peau. Belle ! J'aimerais à te sentir devenir louve Sous la chaleur de mes yeux qui te couvent. Je brûle que ce rêve devienne toi. LA BELLE Mon regard bleu vert se perd dans tes délices. Pour toi je serais toutes les actrices, Me ferais premier rôle de tous les sénarios. Viens...approche...toi et moi...tendre duo LE REVEUR Belle ! Réveille moi ! Le rêve est beau ! Dans tes bras je me ferai agneau. Dans tes draps tu m'y verras de feu. Belle ! Ouvre juste ta fenêtre, si tu le veux ? Papillonmystère/Henri 09 Mai 2012
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Maman
09/05/2012 14:41
Tes yeux
sont un insondable abîme de tendresse
Ton coeur
Une inépuisable source de caresse.
Du plus profond de mes souvenirs,
Je ne garde que l’empreinte de tes sourires.
Il est hélas beaucoup trop court,
Le temps de mes jours heureux,
A me sentir, encore, toujours,
Bien à l’ abri au fond de tes yeux.
Mais coulent les heures, passe le temps,
Inoubliables moments de ma jeunesse,
dont je voudrais ne garder que les joies et l’ivresse,
Et rien pour me séparer de toi, Maman !
P.H.D. 15 Février 2012
Commentaire de PaulHenriJoseph (09/05/2012 14:42) :
Pour toutes les mamans du monde, ces quelques petits mots tendres, que l'on
ne pense jamais à leurs dire.
http://PaulHenriJoseph.vip-blog.com/
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T'aimer
09/05/2012 14:09
T’aimer
A ne savoir le dire,
A n’en trouver les mots.
T’aimer
Jusqu’à en souffrir,
Et endurer ces maux.
T’aimer
A te vouloir libre
De choisir ta vie.
T’aimer
Et savoir que tes rires
Irriteront ma jalousie.
T’aimer
A accepter qu’un autre
Soit cause de ton bonheur.
T’aimer
Sachant que tu te vautres
Sous les mots de son coeur.
T’aimer
Trouver l’envie de continuer
Malgré le poids de mon chagrin.
T’aimer
sans me retourner
Et suivre mon chemin.
T’aimer
Sans autres recours
Que les bonheurs passés.
T’aimer
Sans attendre de retour,
Ni même l’espérer.
T’aimer
A n’avoir su le dire
A n’en avoir trouvé les mots.
P.H.D. 24 Mars 2012
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A toi...mon ami(e) poète(sse)
09/05/2012 13:13
Un parfum de bonté embaume ton âme, Irise ton coeur de couleurs sublimes, Enrobe ton être d’une profonde beauté.
Resplendissante aura par toi méritée. Ami au grand coeur, poète et rêveur De qui se révèle des sentiments la grandeur.
Connais tu plus grand bonheur, De veiller la rime et trouver l’amitié.
Un juste bienfait, un merci à la chaleur Par toi si généreusement partagée.
Elle, Lui, Toi…Vous ! Au regard franc et amical posé sur les autres.
P.H.D. 05 mai 2012.
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Au bleu de mes yeux.
09/05/2012 09:50
Les crayons de mes yeux Te dessinent en bleue. Je te vois diaphane, Mais ne suis que profane.
T’imagine peu à peu, Mais tu restes incertaine. Mon exigence à te vouloir bleue, T’obliges à bien des contraintes.
Les crayons de mes yeux Te dessinent en bleue, Profonde, envoûtante et charmeuse, Emplie de tendresse, chaleureuse.
Lentement tu prends forme. Ton image dissipe mes peurs, Ma tristesse en bonheur transforme. Ta douceur réchauffe mon coeur.
Les crayons de mes yeux Te dessinent en bleue. Rêverie, en tes bras bien au creux, Pour une fois, je me sens heureux.
P.H.D. 09 Mai 2012.
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Trois capucins....
08/05/2012 20:24
Agité par trop de foule
Qu'il entend mais sans la voir,
Petit capucin en profond trouble,
S'engage à devoir.
Troublé des continuels mouvements
D'une multitude qu'il voit mais sans entendre,
Petit capucin en agacement,
S'engage à rendre.
Nerveux d'une tension palpable,
Agitation sentie sans l'entendre ni la voir,
Petit capucin très perturbable,
S'engage à vouloir.
Question posée une réponse attendait.
Petit capucin maintenant devait.
Les comptes les rendrait.
Au nom des autres le voulait.
MAIS ! Dame conscience désespère.
Aucun ne veut trahir ses frères.
Petits capucins se redressèrent.
Mains sur les oreilles, l'un, rien entendu.
Mains sur les yeux, l'autre, rien vu.
Mains sur les lèvres, pour le dernier,
Car il n'a rien à déclarer.
Ainsi, toi aussi,
Tu sais maintenant comment agir
Si un ami ne veut trahir.
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Ma fille !
06/05/2012 11:19
Que j’aime ton visage
Au regard si profond.
Fidèle en son témoignage
De toutes tes émotions.
Plonger dans tes yeux
Et y perdre mon âme,
Le voudrais, mais ne peux,
Sans que l’on me condamne.
Plonger dans tes yeux,
Et y lire cette blessure,
Béante, saignante déchirure,
Dont je dois faire l’aveu.
Tant de beauté et de gentillesse
Dans ces yeux baignés de tendresse
Qui dévoilent avec tant de douceur,
Toute la finesse qui habille ton coeur.
Impossible recul des années,
Ni soupires et inutiles regrets,
Ne pourront hélas m’aider
A changer mon infâme passé.
Seuls tes mots et tes sourires,
Sont mon plus grand plaisir.
Satisfait de te voir heureuse,
Soulagé des idées pernicieuses.
Je n’ai pour seule fortune
Que les mots de mon coeur.
Je cherche occasion opportune
De les convertir en bonheur.
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Songe d'une nuit d'été.
06/05/2012 11:14
Agréablement bercée par une chaude brise d’été, La nuit douce et calme donnait envie de rêver. Dans l’herbe à l’odeur particulière me suis allongé, Sous la voûte céleste parsemée de diamants par milliers.
Envoûté par ces minuscules lumières assemblées, Je plongeais dans un rêve mille fois recommencé, Lentement son visage prenait forme, à moi se révélait. Elle, que depuis de si longues années je cherchais.
Tant de fois découverte et chaque fois me trompais. Et d’y croire, je voulais que mon rêve soit réalité, Pour pouvoir toucher son visage, de lumières auréolé, Sa longue chevelure aux superbes reflets mordorés.
Tendrement de la main je voulais la caresser Certain pour mon malheur que je ne le pourrais, Car seule son image à mes yeux se dévoilait. Elle, si belle, j’aurais tant aimé la matérialiser.
Quel stratagème inventer pour enfin te trouver. Et les yeux dans l’immensité de ce ciel étoilé, Mon esprit travaillait, une idée gentiment cheminait, M’éloigner de la terre, prendre du recul, m’élever.
Tant d’astres attirants, vers lequel me diriger. Mars, Saturne…Non, Vénus, voilà où me poser. Image de toute beauté, la terre baignée de lumières. Mais vers où regarder pour enfin la trouver. Car de scruter sans la voir, j’en suis désespéré.
Alors, la plus douce des mélodies de résonner. - Mon doux ami, serait-ce moi que vous cherchez ? Me suis retourné, et …là devant moi…Dulcinée ! Plus parfaite que mon esprit ne l’avait modelée.
Ce visage angélique à la peau si douce et nacrée, Des yeux d’un bleu si profond que j’y voulais plonger. -D’ être venue est-ce donc que toi aussi me cherchais ? - Oui, car depuis si longtemps j’ai envie de t’aimer.
Débordant d’amour ai tendrement sa main embrassée Contre mon coeur battant l’ai amoureusement posée, Et ne pas bouger peur de voir mon bonheur s’envoler. L’un contre l’autre blottis, sommes restés à nous aimer.
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