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Tant de....
15/06/2012 08:07
Tant de mots avons couchés
Tant d'espoirs nous sommes donnés
Tant de rires couvraient nos larmes
Tant d "Aimer", nos seules armes
Tant réunis, dans nos seules pensées
Tant nous "Dire", si souvent nous répéter
Tant nous "Désirer", sans pouvoir se toucher
Tant de "Sentir", nous vouloir plus proches
Tant de "Mais", lancés comme des reproches
Tant de "Promettre" qu'un jour à venir.
Aujourd'hui ce jour EST !
De ce que furent nos passés
Main dans la main nous les oublierons.
De ce que nos présents faisons
Main dans la main, jour après jour, nous aimer.
De nos demains ! Traverser l'amour et le temps
Sous les regards envieux de nos enfants.
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Coeur à serrure sentimentale
14/06/2012 16:46
Platitude d'une vie monotone.
En vivre maintenant son automne.
Regards chargés de moult regrets,
Sur ces ans écoulés...à se demander.
Sous les amas d'amour amoncelé
Un coeur sous le poids écrasé,
Attend patiemment que se dessine une clef
Celle qui, par amour, l'aura forgée.
Tant d'amour en trésor amassé,
De caresses par milliers entassées,
De tendresse jamais encore partagée,
Attendent celle qui en trouvera le secret.
Sous son apparence de fer forgé,
A peine plus gros que le poing,
Un coeur attend patiemment dans son coin,
L'amour qui l'ouvrira de ses baisers.
P.H. D. Juin 2012
Commentaire de papillonm (14/06/2012 17:49) :
Une clef pour un coeur
Pour eux l'éternité en choeur
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Au jardin de mes rêves
14/06/2012 12:59
Dans le jardin de mes rêves, Belle orchidée des terres de France, Pure, tendre amour, graine en errance, Sur mon arbre de vie se greffe. Radicelles dans mes chairs s'immiscent, Jusqu'en mon coeur se glissent, De mes désirs profonds se nourrissent, Mon entier, mon moi envahissent. Inquantifiable sensation de bien-être, Dans lequel l'âme glisse sans retenue. Irradiant bonheur, rayonnement du corps et de l'être. Mes rires s'égrènent en arpèges. Belle orchidée des terres de France, Tu illumines le jardin de mes rêves. P.H.D. Juin 2012
Commentaire de papillonm (14/06/2012 17:47) :
Heureuse orchidée dans l'attente du plus merveilleux des jardiniers.
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Certitudes
12/06/2012 12:31
Tant de "Passer", ce temps à te chercher. A savoir que là, quelque part, tu étais. Sans pour autant réussir à te trouver. Mais des certitudes, qu'un jour, vers TOI j'irais. Tant de "Courir', pour épargner le temps. A ne pouvoir le retenir pour autant. Fouiller ce monde pour pouvoir t'aimer. Mais des certitudes, que vers TOI j'allais. Tant d "Espérer" que tu pourrais me retenir. Mêmes envies de nous forger un avenir. Te savoir solitaire, coeur libre et passionné. Mais des certitudes de vouloir t'aimer. Tant de "Craindre" de voir l'amour s'envoler. Si près l'approcher, presque le toucher. Vers TOI tendre le coeur, l'offrir à aimer. Sans certitude qu'il te ferait vibrer. Et pourtant Les certitudes en moi sont vraies. Certitude que pour TOI mon coeur battait. Certitude que je te trouverais. Certitude que vers TOI j'irai. Certitude que de TOI, je suis impatient. Certitude de te vouloir pour seule amante. Certitude d'un amour pour TOI ardent. Mais certitude que je ne suis maître du temps...
P.H. D. Juin 2012
Commentaire de papillonm (12/06/2012 14:39) :
Le coeur et tout l’être en vibration
sur de si belles déclarations
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Mots-poignards.
10/06/2012 08:05
Lignes et mots parfumés.
Messages d'amour délivrés.
Quel besoin de les lire ?
Et maintenant m'en maudire !
Lignes et mots enchanteurs.
D'un autre ont fait le bonheur.
Ils m'arrachent le coeur,
Attisent mon malheur.
Lignes et mots-poignards
Me plongent dans le désespoir.
Car puis-je encore croire ?
Me bercer d'un quelconque espoir ?
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Poème inachevé.
10/06/2012 06:54
Te faire oublier le malheur des années Où l'on brimait tes moindres pensées, Les mots utilisés pour me les raconter Me bouleversaient à peine prononcés. Te faire oublier ce corps meurtri De n'avoir pu être comprise. D'avoir pardonné les tortures N'effacera pas de ton coeur les blessures. Te faire oublier ces jours sans bonheur A chercher en vain un peu de chaleur. Laisse moi te prendre contre mon coeur, Et si tu ne peux, je verserai les pleurs. Te faire oublier ces heures de tristesse, Quand ton corps se languissait de caresses. Laisse moi t'emporter vers ces rivages, Où le sable est couleur blanc nuage. La mer et ses reflets aux nuances charmeuses, Dans ses eaux je t'y poserai radieuse. A perdre haleine nous y ferons l'amour, Des aubes jusqu'aux fins de nos jours. Les arbres te feront révérence, En hommage mérité à ta beauté. A tes pieds les oiseaux multicolores déployés Deviendront arc en ciel dont te feront l'offrande. J'aimerais redevenir un enfant magicien. De couleurs irréelles colorier tes demains De milliers d'étoiles remplir tes yeux, Qu'ils me disent que tu es enfin heureuse.
Qu'ils me disent......
P.H. D. Juin 2012
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Viens !
06/06/2012 14:10
Viens ! Ce mot que tu penses si fort, Ce murmure en chacun de tes souffles, Tes yeux autant que tes mots me le soufflent, Transie d'amour en chaque fibre de ton corps. Ce cri, cet appel qui presque supplie, Telle une main tendue vers les dus de la vie, Tu réclames ton droit aux heures perdues, En trop longs moments de passion non vécus. L'amour, jusqu'alors tu croyais le connaître, Le présent te démontre qu'il n'était qu'un paraître. Aujourd'hui il est là, ouragan qui dévaste tes sens, Crée en toi le vide d'une insupportable absence. Les mots se bousculent sur tes lèvres, Ne peuvent exprimer les images de tes rêves. Mais dans ce simple geste de tendre les mains, Lui, t'aime et entend ton coeur crier "Viens !" P.H. D. 04 Juin 2012
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Le ciel dans tes bras.
06/06/2012 08:24
Toi, que les ans ont rendue si belle, Avec toi, je voudrais parcourir le ciel, A la recherche de ces aubes nouvelles Qui se lèveraient sur notre idylle bien réelle.
Toi, par l'amour chaque jour plus belle, Qui parfois peux paraître si frêle Avec toi, j'aimerais errer dans ce ciel. Y vivre des amours éternelles. Avec toi, aborder à d'autres rivages, Y construire ton royaume, y être ton Page. Chaque jour je t'y ferais hommage, Et nous ferions l'amour, sans soucis de notre âge. Y bâtir une vie où il n'y aurait plus de pleurs, Notre amour y grandirait sans peur. Nos enfants s'appelleraient tous "Amour", Eux, nos bonheurs, nos regards des vieux jours ! Eloignons nous, toi et moi, d'ici bas, Partons et dérivons dans le clément de ce ciel, Toi, mon Amour, la plus tendre, la plus belle, Que d'amour, je puisse y mourir dans tes bras. P.H.D. 04 Juin 2012.
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L'amour après l'amour.
03/06/2012 14:53
Ni toi, ni moi n'avons bougés. Longtemps après nous être follement aimés, tu es restée face à moi, dans mes bras, tendrement enlacée. Alors que, petit à petit, je glissait vers le sommeil, j'ai senti ton baiser, sur mes lèvres. Une caresse. Juste un léger effleurement, comme l'aile d'un papillon posé sur mon épaule, qui, battant des ailes, frôlerait mes lèvres. Tu t'es tournée, mais pour mieux venir épouser la forme de mon corps. Tes mains, d'autorité, ont pris les miennes. Tu t'y es enveloppée, lovée, une main sur le bas de ton ventre, l'autre épousant parfaitement la courbe de ton sein, côté coeur. Durant quelques secondes encore tu as remué, à la recherche de la position parfaite, celle qui épouserait jusqu'au moindre centimètre carré de mon corps. Puis, peu à peu j'entendis le rythme de ta respiration ralentir, devenir plus lourd, toi aussi gagnée par le sommeil. Ni toi, ni moi n'avons plus bougés, ne fusse que d'un millimètre, comme si nous avions peur de déranger la parfaite harmonie de nos corps imbriqués d'un dans l'autre. Malgré la chaleur de la nuit, malgré la légère moiteur de nos corps, nous ne voulions pas nous séparer. Ne pas bouger, ne pas s'écarter l'un de l'autre, ne pas déranger nos deux coeurs occupés de se réchauffer l'un à l'autre. La douceur et le parfum de ta peau après l'amour, la caresse de tes cheveux sur mes lèvres ont finis par réveiller mes envies. Je sentais à nouveau mon membre se raidir, sans rien pouvoir faire pour l'en empêcher. En avais-je envie seulement de l'en empêcher ? Entre tes cuisses lentement mais inexorablement il s'immisçait, ne s'arrêta qu'à l'entrée de ta divine porte. Consciemment, inconsciemment, tes hanches ont frémis, une moiteur significative s'échappa de ta porte encore à peine entr'ouverte. Profitant lâchement de tes instants d'abandon, je te pénétrai, très lentement, délicatement, amoureusement ! Tes doigts se crispèrent sur les miens, guidèrent mes mains vers des endroits désireux de caresses précises. Longtemps, très longtemps, à peine bougeant, nous avons laissé nos sens se délecter intensément, ne laissant que nos sexes matérialiser notre envie. Ensemble, toi et moi, avons atteints la grande plénitude, calmement, posément, mais ô combien tendrement et passionnément. Lorsque les premières brumes du matin s'éclipsèrent, le premier rayon de soleil nous trouva imbriqué l'un d'autre, tout pareillement allongés.
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Ces mots-poignards.
02/06/2012 15:58
Non ! Mot affuté tel un poignard ! Déçu, me sens mis à l'écart. Esprit confus, idées brouillées, Ne sais vraiment plus que penser.
Flash-back sur nos parcours. Toi, moi, deux vécus, sans vrai bonheur, Mêmes blessures sans grand recours. Même combat, d'autres ailleurs.
Hasard des mots sur même fréquence. Tels les aimants, nos pôles s'attirent. Passion torride, empire des sens. De nos passés, tout se déchirent.
Lionne, tigresse, implacable féline, Sur moi tes griffes sont refermées. Aux creux de nos étreintes sublimes, Exilé volontaire, ton prisonnier.
De nos rencontres trop aléatoires, Nous pourrions décider d'en finir. Dès lors, pourquoi ne pas nous unir ? Non ! Encore résonne ce mot-poignard !
P.H. D. Juin 2012
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