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[ Introduction ] [ Découvertes ] [ Poésies ] [ Nos vieilles fermes ] [ Pages d'écriture ]
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A toi mon amie poétesse.
17/05/2012 15:56
A toi ma douce et tendre amie la photo est tienne Egalement le poème Mais de l'avoir mis à l'affiche, C'est te dire combien je l'aime.
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Aimer jusqu'au bout de soi-même
17/05/2012 08:58
Si nous pouvions cesser Ces comédies de l’amour Où l’on prétend aimer Jusqu’à la fin de nos jours.
Bons jours, mauvais jours. Tout partager, oublier les moments de stress au boulot, sur la route. Avant d’ouvrir la porte le soir, avant de rentrer sans savoir ni connaître la journée de l’autre, conditionnons déjà notre esprit au partage du bon comme du mauvais, en acceptant de le faire dans le calme. Préparons déjà notre coeur, préparons aussi un sourire, le plus tendre, le plus aimant. La fatigue ou la contrariété qui se lisent dans nos yeux, nous ne pourrons pas le cacher à l’être aimé là, à nos côtés. Si elle ou il est attentif , elle ou il le verra et voudra le partager calmement, tendrement. L’amour c’est tout se confier, les hésitations, les doutes, les envies, les colères expliquées gentiment. Avant de lancer des mots blessants, faisons tourner notre langue sept fois dans la bouche. Analysons d’abord les conséquences d’un mot. Mot jeté ne peut plus être repris. Si nous pouvions nous aimer et vivre ensemble en laissant parler nos coeurs ! Bridons nos esprits trop vifs et vindicatifs, collons nos lèvres trop rapides et agressives. Nos coeurs diront les mots plus en douceur.
Si nous pouvions donner Jusqu’au fond de nos coeurs. Partager sans envie de quantifier Ce que nous donnons en bonheur !
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Et mes draps s'en souviennent.
16/05/2012 16:40
De si longues années sans passion, Des envies de caresses ont causé l'abandon. Au travers tes photos je te vois si sensuelle, Que mes années de chasteté non voulue se rebellent.
Mon corps entre en transe sous ton regard, Aspire a sentir la chaleur de ton corps sous le voile De ta robe diaphane. J'en reste l'oeil hagard. J'attends et j'exulte à l'idée que tu te dévoiles.
Par de-la la photo c'est ton corps que je touche. Ma main apeurée et timide se pose sur ton visage. Mes doigts malhabiles osent à peine effleurer ta bouche, Peur que mon rêve s'éteigne, que tu redeviennes image.
Je sens la douce caresse de tes cheveux sur ma joue, Lorsque vers moi tu t'avances et tendrement pose la tête Sur mon épaule. Le son de ta voix enjouée, Chaude et vibrante réveille mes instincts de bête.
La pointe de ton sein exaspère mes sens, Et trop longtemps privé des caresses d'une femme, Mon corps, tel une poignée d'étoupe, s'enflamme. Belle, tu es belle et tu me damnes.
Sous la douceur de tes lèvres je me sens fondre. A la chaleur de ton ventre je ne puis plus résister. Sous les va et vient de tes hanches je m'effondre. Toi et moi réunis dans une étreinte trop longtemps désirée
Mon désire de toi fut torride, Et mes draps s'en souviennent.
P.H.D. 16 mai 2012
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Raison ou déraison ?
16/05/2012 15:14
Ai-je raison d’espérer ? Tout au fond de tes yeux Le reflet de tes peurs, Tes hésitations à aimer.
Ai-je raison d’espérer ? Ta douleur n’est pas sèche, La peinture encore fraiche. Ton coeur est en chantier.
Ai-je raison d’espérer ? On t’a trop fait souffrir. Pourras tu encore t’offrir A la caresses des baisers ?
Ai-je raison d’espérer ? Ne voudras tu pas te venger De ces pompeurs de sève Qui ont salis tous tes rêves ?
Ai-je raison d’espérer ? Pourras tu encore t’abandonner, Laisser sous mes mains ton corps vibrer Sans envie de te jouer ?
Nous sommes deux à t’aimer. Ai-je raison d'espérer ?
P.H.D. 16 mai 2012
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Dis moi la vie !
15/05/2012 17:32
Vas-y ! Raconte ! Accouche ! Pourquoi tant d'autres et pas moi ? Qu'est-ce que j'ai fait de moche ? Pourquoi j'y ai pas droit ?
Quoi ! Qu'est-ce que tu me dis ? Je veux tout et tout de suite ! Tu déconnes à plein tube là, ma chère ! Ca fait cinquante balais que j'espère !
Et tu viens me raconter Que j'veux aller trop vite ! A quel âge j'aurai l'droit d'aimer ? Quand j'mangerai tout au passe-vite !
Arrête de vouloir m'entuber. Pour moi la pièce est jouée. Depuis longtemps le rideau est tombé, j'ai plus qu'à me tirer, aller me cacher.
Tu sais quoi la vie ! J'en peux plus Cinquante ans d'espérance Pour ramasser des coups de pieds au cul ! J'abandonne et je te tire ma révérence.
P.H.D. 14 mai 2012
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Pour moi c'est joué
14/05/2012 21:08
Ma tristesse est déjà
Même si tu es là
Je te vois, je te parle,
Mais je sens le vide.
Le vide et le coeur en jachère
Je voudrais aimer, donner
Comprends tu, je désespère.
Je m'enfonce, je me perds.
Mais que me sert de te tourmenter
Ton coeur est en débat
Il me, il te faut raisonner
Contre vents et marées tu te bats
Tu ne sais où tu es
Tu ne sais où tu vas
Tu voudrais l'amour sans choisir
Et sans faire souffrir
Mais déjà mon coeur le sait
Pour lui et pour moi c'est joué !
On est résigné
La tête sous le couperet
Déjà prête à tomber
P.H.D. 13 mai 2012
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Ma révérence
14/05/2012 18:11
Je tire ma révérence Mon âme est en balade. Au gré de ses errances, Elle traine mon coeur malade.
Mon âme est en balade, Elle cherche le port Pour y poser bagages Et trouver réconfort.
Au gré de ses errances, Elle veut croire en la chance. L'amour est quelque part. Trois petits tours et puis repart.
Elle traine mon coeur malade, De ci, de là, sans préférence. Mais l'amour est en balade. Et moi, je tire ma révérence.
P.H.D. 13 mai 2012
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La complainte des coeurs vides.
13/05/2012 12:13
VIE
Rébarbative
Et fétide
COEUR
Aride
Et vide
SENTIMENTS
Morbides
Et putrides
DES LENDEMAINS
Sans rien
Et le chagrin
SOLITUDE
Habitude
Et routine
ESPOIR ?
Plus de noir
Blanc !
Que du blanc
Et toi
Près de moi
Où que tu sois
Qui que tu sois
Viens
J'ai besoin
D'amour !
De toujours !
Et pas rien qu'un jour !
P.H. D. 12 mai 2012.
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Coeur de femme, femme dans le coeur.
13/05/2012 07:09
Le coeur d'une femme C'est un énorme paquet de tendresse Qu'il faut ouvrir avec délicatesse Le coeur d'une femme C'est des millions de sourirs Mais ce sont vos yeux qu'il faut ouvrir. Le coeur d'une femme C'est des tonnes de je t'aime Tendres et doux, comme des poèmes. Le coeur d'une femme C'est doux, c'est beau comme une rose, Ca pique si tu es trop brutal dans ta prose Une femme dans le coeur C'est faire des heures sans dormir A vouloir veiller ses soupirs. Une femme dans le coeur C'est ne plus pouvoir respirer Si quelques heures elle s'éloignait Une femme dans le coeur C'est chaque seconde sur elle tes yeux poser En de tendres caresses plus douces que des baisers Une femme dans le coeur C'est avec elle traverser le temps Sans s'attarder au poids des ans Une femme dans le coeur Qu'elle ait vingt ans, soixante-dix ans, dis lui qu'elle est toujours belle. Que si tu devais refaire une autre vie, tu ne voudrais le faire qu'avec elle.
Le coeur d'une femme Ca chauffe mieux qu'un radiateur Ca dégage des tonnes de chaleurs
Le coeur d'une femme C'est du cristal Ca casse si tu es trop brutal. Le coeur d'une femme N'est pas compliqué Il suffit d'en trouver la clef. Pour pas devoir appeler le serrurier.
P.H.D. 12 mai 2012
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Volupté
12/05/2012 21:53
Semblant encore langoureusement immergé Dans les brumes enveloppantes de la nuit, Lentement l’esprit s’éveille, paraît émerger Des vapeurs voluptueuses qui l’engloutissent.
Les paupières paresseuses et trop lourdes Se refusent aux clartés envahissantes de l’aube. Le coeur encombré de quelconques regrets, Se prélasse, se complait dans sa bauge.
Corps immobile sur la blanche immensité, Evoque la certitude d’un lâche abandon, Manque de courage à vouloir guerroyer Contre l’apathie et ses bonnes raisons.
Suprême plaisir, lascive immobilité, A laisser ses idées librement vagabonder. Errance bienfaisante de la pensée, Que nuls barreaux ne peuvent entraver.
Corps chaleureusement emmitouflé. Impression rassurante d’être protégé. Les yeux fermés, douce somnolence. Profiter sans fin, incommensurable magnificence.
Les sens délicieusement exacerbés Par de libertines envies érotiques, Qu’une main experte en la pratique, Vient libérer en une explosion de volupté
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