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[ Introduction ] [ Découvertes ] [ Poésies ] [ Nos vieilles fermes ] [ Pages d'écriture ]
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Désir Dominical
10/10/2012 14:14
Présence...sensation rassurante. Ma main se pose...ta hanche. Aussitôt...le contact apaisant De ton corps. Ah oui ! Aujourd'hui Dimanche !
De toi me rapprocher...très, très près. Surtout...ma main...ne pas la retirer. Toute entière je te sens vibrer. Imperceptiblement ton corps onduler.
Difficile immobilité...ne pas te dévoiler. Totalement alanguie et offerte, muette. Les sens en éveil...tu me guettes. A moi d'entreprendre...d'oser.
Jeu d'une extrême sensualité. Nos corps se sont détectés, Nos chaleurs se mélangent en un même foyer, Nos désirs se cherchent, montent en intensité.
Bravoure inutile que d'y résister. Ce combat érotique gagnera en beauté, Car nos sens aspirent à s'y abandonner. Au rythme de nos soupirs...planer.
P.H. D. Octobre 2012
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Parfum de "Tendresse"
09/10/2012 22:46
Des effluves de l'amour,
J'inventerai "Tendresse,
Parfum te plongeant dans l'ivresse
De nos nuits et nos jours.
Fragrance caressante et soyeuse,
Pour toi...femme amoureuse,
Sensible au glissement sensuel
D'une soie ou d'une fine dentelle.
Flottement subtile et entêtant,
Présence tournoyante et ondoyante
Qui charmerait ton corps vaporeusement nu
De ses seules évanescences ténues.
Effluves, fragrance, Parfum ou délicatesse
Pour un corps à la recherche de volupté,
Langoureusement ouvert à l'art d'aimer,
Pour peu que "Caresse" rime avec "Tendresse".
P.H. D. Octobre 2012
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Au livre de ma vie...Toi...ma page d'or
07/10/2012 22:03
Les premières pages d'un livre
Le livre d'une vie Ecrit au gré de mes envies. Y déposer par petites touches Des vécus où il n'est de retouches. Les lignes ségrènent, Monotones ou noires d'ébène. Traces ténues et insipides, Diagramme aux courbes timides. Seuls se détachent en ces instants, Deux prénoms...tant de fois répétés. Litanie d'un coeur qu'on a voulu écraser En le privant de ceux...de ses enfants. Parmi les mots écrits, témoignages d'une mémoire, "Amour" y paraît en faible résonance, Telle une chose sans réelle importance, Ou inscrite en rubrique "déboires". Chapelet ininterrompu des années Où l'esprit raisonne en "amitiés". La passion, sentiment comme a jamais bâni, Disparaît au fil des hivers qui s'enfuient.
L'espoir
Un jour...la lumière...d'abord faible lueur Puis elle éclate...éblouit...fait espérer, Pénètre et s'incruste, réchauffe le coeur, Peu à peu, je me prends à oublier le passé.
Surtout...y croire...forcer le destin, Le sien...et même...surtout le mien. Mais être honnête...elle aussi est en peine. Gagner son amour...combat sans arène.
Mots enchanteurs échangés sur écran, Part de rêve m'aidant à sortir du néant. Poésies, en lecture ou composition, Entre elle et moi, comme un trait d'union.
La page d'or
Envies de rencontre...la toucher, La voir...lui parler...elle sort enfin du noir, Devant moi, telle un rêve que je peux palper. D'un sourire elle met fin aux années de désespoir.
Dieu ! Que son regard est plein de vie, Mon coeur bat la chamade. Plus le contrôle. Pourrai-je lui plaire ? Irrésistible envie. Mais être moi...ne pas jouer de rôle.
Aux chaleurs d'été succèdent les fraîcheurs d'automne Nos jours n'ont plus de longueur qu'une poignée de secondes. Suis en mimétisme...en symbiose...dans son monde. J'y suis bien...en harmonie avec elle...un autochtone.
La regarder vivre...mais surtout rire...encore et encore, Chaque jour, d'elle, plus amoureux...chaque jour plus fort. Je TE dois tout...TOI...mon réconfort. TOI...de mon livre...en es devenue la PAGE D'OR.
P.H. D. Octobre 2012
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Dans le grenier de tes rêves
07/10/2012 11:55
Du plus profond de la nuit, lentement je monte A travers tes yeux, redécouvrir le monde Qui est soleil... sous l'éclat de tes rires Qui est bleu...tu me guides à la parcourir. Plus léger que la plume ou que l'air Je me prends à flotter, poussière d'étoile Le coeur arborant l'amour en bandoulière Et l'âme libre dérivant au gré de ses voiles. Planètes, étoiles filantes ou nébuleuses Tu traverses mon ciel, trace merveilleuse Comète couleur de feu, feu d'artifice multicolor, Tu sillonnes ma vie, tu la colores. Durant mes nuits sans sommeil tu m'appelles Tu m'invites à te rejoindre dans ton monde Dont la porte reste ouverte. J'entre dans ta ronde. Les yeux fermés, suis sur une balancelle. Etre bien, pas nécessaire d'ouvrir les yeux La délicate senteur de ta peau, là, au milieu des cieux. Avec toi arpenter ce vaste néant, Ton refuge, le grenier de tes rêves d'enfant. P.H. D. Octobre 2012
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Si je devai te peindre...
26/09/2012 20:00
A l'intensité de ton regard j'y mettrai de l'azur,
Pour en garder son éclat...le plus pur,
Pareil au scintillements des étoiles,
Et qu'aucun nuage ne le voile.
Ma palette manquerait assurément de la couleur
Qu'il me faudrait pour peindre ton coeur.
Il m'était venu à l'idée de le voir en blanc,
Symbole de pureté...mais jamais assez éclatant.
Ta bouche je la peindrai de couleur
Framboise, tes lèvres en ont la saveur.
Le goût de tes baisers...toute la douceur
Sucrée qui me fait fondre en profondeur.
De ton amour...pourquoi pas couleur firmament,
Pour que toujours il brille intensément.
Et s'il te prenait l'idée d'y monter...souvent,
Je t'y verrai de mille éclats...TOI...mon diamant.
P.H.D. Septembre 2012
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A toi...ma douce Papillon
26/09/2012 09:25
Deuxième partie
Poussière tirée du néant...illusion ou mirage,
Telle tes poésies aussi douce qu'une plume,
Douce Papillon, posée sur tes nuages
Ondoyants comme des vagues d'écume.
Tu nous enchantes de tes vers irréels,
Venus des profondeurs de ton âme si belle.
Les yeux perdus dans l'immensite planétaire,
Tu cherches un amour limite imaginaire.
Tes idées vagabondent entre ici et ailleurs,
Tes absences impressionnent...font peur.
Quel amour inventeras-tu...aimeras de vivre ?
Laisseras tu au mien la chance de survivre ?
Pourtant je te suis dans ton univers,
Et souvent m'y retrouve la tête à l'envers.
Ton amour m'est précieux...le brandir...mon fanion.
Toi mon intemporelle, mon irréelle et douce Papillon.
P.H. D. Septembre 2012
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A toi...ma douce Papillon
25/09/2012 11:33
Si gracieuse, TOI, telle fine libellule, Tu caracoles au gré de tes envies, Et inventes l'amour sur un fil, Fidèle à ton rêve, TOI, belle funambule.
L'esprit perdu dans les méandres de la raison, Tu imagines un monde et tu y déambules, Suivant les édits de ton coeur papillon, Et l'amant te suit...comme un funambule.
Jolie Papillon...pas de cocon mais une bulle ! Tu aimes...ton coeur est chaud...mais tu vis la-haut, Et ta petite sphère ronde...ton véhicule T'y emmènes souvent...le monde y est plus beau. A suivre... (même si la suite est déjà écrite)
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Sur la route de Sauvain
24/09/2012 14:10
Lieu : Sauvain
Corps de ferme - année 1886
Matériel de ferme : soc de charrue fin 19ème début 20ème
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Sur la route de Sauvain
24/09/2012 14:08
Lieu : Sauvain
Corps de ferme - année 1886
Matériel de ferme - moissonneuse fin 19è et début 20ème
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Sur la route de Sauvain
24/09/2012 14:07
Lieu : Sauvain
Corps de ferme - année 1886
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