Telle l’eau ne se peut contenir,
Même barrage ne peut y parvenir,
Mes idées vagabondent
En folles farandoles et rondes.
Ineffable plaisir,
Ne pas les retenir.
De leurs ailes planent et volent,
Tels papillons et libellules en vol,
Au fil de l’eau, légères et gracieuses,
Sans que nulle autre plus laborieuse,
Ne vienne ternir la fluidité parfaite
De ma spirituelle comète.
Idées, pensées, papillons et bourdons,
Endiablé carrousel,
Tourbillonnante ascension,
Volent, se croisent et se mêlent,
Dans la plus parfaite harmonie
D’une champêtre symphonie.
P.H.D 10 Févr. 2012